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dimanche 5 juillet 2009

Convention sociale et viabilité d’une relation.

Tout le monde, je parle des célibataire, cherche sa moitié.

On fait des rencontres par l’intermédiaire d’amis, de la famille, du boulot, au hasard dans la rue, ou par un site style Facebook, nice people , Meexup et j’en passe.
Souvent et même trop souvent on se demande si on va finir par rencontrer cette personne qu’on attend pour ne plus être seul et pouvoir vivre à deux.
Il est rare de tomber sur une personne avec qui on partage beaucoup de chose, souvenirs d’une époque qui nous a vus grandir, style de vie, genre cinématographique,  milieu social, culture, et j’en passe. ..
Parfois on ne s’en rend compte que trop tard.
Parfois on ne fait pas ce qu’il faut.
Il m’est arrivé une fois de ne pas aller rencontrer une personne sur Rabat, car il pleuvait…oui c’est idiot…je le sais maintenant.
Il arrive que l’un des partis ne soit pas prêt à aller loin dans la relation.
Il y’à tellement de si, que ca fait peur !
Mais dans n’importe quelle relation, une fois qu’on connait cette personne et qu’on sent que le courant passe et plutôt bien on envisage à construire quelque chose.
Car bien évidement il faut être sérieux dans sa démarche.
On pense à bien des choses, mais comment réagir quand on se heurte aux conventions sociales !

Pourtant s’entendre dire que notre condition de vie n’est pas valorisante, pire honteuse vis-à-vis de l’autre et de sa famille est dur à croire.
Le plus important n’est il pas l’entente, l’amitié, la complicité le respect de l’autre et bien sur l’amour. Et peu importe d’où on vient et ou on vit. On pourrait être une personne très simple, modeste ou pauvre, habitant même dans un bidon ville, on a le droit d’aimer, de vouloir construire quelque chose. Evidement on espère toujours le meilleur, mais nous n’avons aucune certitude par rapport à notre devenir et notre évolution personnelle et sociale.
Pourquoi notre condition de vie devrait-elle déterminer le futur d’une quelconque relation ?
Notre condition ne devrait en aucun cas favoriser ou pas une relation, le plus important n’est il pas de pouvoir construire quelque chose ensemble, même si c’est dans une simple grotte. Cette idée m’indispose vraiment et me gène. Car cela voudrais dire que si je n’ai pas les moyens financiers de changer ma condition de vie, je ne peux pas envisager une relation !
Je pense le contraire.
Peu importe l’endroit ou on vit, si l’amour est au rendez vous, il devra consolider une relation saine et la pérenniser dans le temps.
Le 8 Aout approche et je ne peux m’empêcher de constater que cela fera 2 ans que je suis aujourd’hui de nouveau célibataire et qu’une des raisons qui ont amené mon ex femme à partir est justement ma condition et mon niveau de vie matériel.
Peut être que je finirais par trouver une personne qui ne pensera qu’à moi et seulement à moi et non à l’endroit ou je vis !

mardi 30 juin 2009

"L" attente savoureuse.

Je suis en train de « L »attendre à l’aéroport Mohamed 5 de Casablanca. A chaque flux de passager, je scrute méticuleusement chaque visage. Cela fait une bonne demi-heure que je suis là. Son vol a atterri, mais je ne « L » a vois pas encore.
Je ressens de nouveau ce nœud à l’estomac que j’ai eu à chaque fois que je devais faire la rencontre d’une personne que je n’avais encore jamais vu en vrai. Mais cette fois la sensation est différente. Je n’arrive pas à définir cela. C’est un peu comme si je montais une marche d’escalier vers le niveau supérieur sans que je ne sache ce qu’il y’à et avec une grande excitation pour le faire.
J’ai aperçu au loin le stand d’Air France et le souvenir de mon amie Salwa décédée il y’à peu de temps, m’as tenu quelque peu compagnie. Je me suis laissé emporter un court moment par les souvenirs d’une époque révolue et j’ai souris.
Je « L » a cherche toujours parmi les passagers qui arrivent au compte goute. Impossible de la rater quand même !
A cet instant, En plus de ce nœud que je ressens, je ne peux m’empêcher de me dire que cette fois encore, j’ai trop espéré…
Pourtant j’espère…et je continuerai.
Au moment ou foisonnent en moi des questions suspicieuses, « L » m’appelle pour me dire qu’elle me cherche et qu’elle ne me trouve pas.
On se parle brièvement, je tourne la tête et je la vois.
C’est un silence qui m’envahit brusquement. Le brouhaha de l’aéroport fait place à une accalmie sonore inattendue. Je regarde son regard et là je m’interroge : « Suis-je prêt ? » et en même temps un plaisir exquis parcoure mon échine.
Nous verrons bien ce que le destin ou la vie nous a prévus comme surprises.

samedi 9 mai 2009

Poluxette

Elle me connait bien, même trop bien.

Elle sait me cerner, reconnaitre mon humeur d'une manière infaillible.
Elle tombe juste à chaque fois et j'en suis toujours surpris.
Avec elle, nulle cachoterie n'est nécessaire !

Moi par contre, je n'ai jamais rien pu lire en elle.
Elle pourrait me dire qu'elle était sur la lune, que je la croirais…
C'est ma petite sœur qui occupe une place de reine dans mon cœur.

Mes larmes coulent en écrivant ces lignes et ma gorge me brule.
Car en ce moment, je sais qu'elle ne va pas bien.
Elle pense que je suis loin d'elle, mais pourtant chaque jour,
je pense à elle, aux changements qui s'opèrent en elle.
Elle grandit par injection de chagrin, déception, souffrances, amitiés et amour.
Elle découvre la vie tout simplement… et qu'elle est dure la vie !

Quand il m'est arrivé de la voir pleurer, ces larmes sont restées mystérieuses.
Alors qu'elle au contraire, sa perception de moi, ne la trompe jamais.
J'ai des remords pour ne pas l'avoir comprise comme il le faudrait ou quand il le fallait.
Oui, je m'en veux et mon cœur se consume.

Mon ex femme Hind.O aura été ce grain de sable qui complique tout.
Car j'ai délaissé ma petite sœur sans en avoir conscience, jusqu'à ce qu'elle me le dise.
Les plaisirs charnels brouillaient alors mes sens !
Aujourd'hui j'en suis pleinement conscient et cela me navre.
Ne pouvant réparer cela, je sais que désormais je me dois d'être plus vigilent !
Aucune autre femme ne devra plus jamais éclipser ma sœurette.

Ses cris de souffrances me font l'effet de décharges électriques.
A chaque fois ils m'électrocutent au fond de mon âme.

Ces mots jaillissent en moi, tel un magma en fusion qui dévale le long de mon cœur.
J'ai mal et je m'aperçois qu'au rôle de grand frère, j'ai failli.

J'aimerais l'aider et lui montrer un chemin à suivre, si elle veut bien de moi.
Lui dire que la vie bien que cruelle parfois ou même souvent, nous cache bien de belles choses.
Et que ses surprises quand elle sont agréables , méritent qu'on y goute et qu'on s y attarde.

lundi 27 avril 2009

Etre amoureux ou Aimer ?

















Heureux est celui qui aime !
On peut se poser cette question ! , Je me la suis souvent posé .
Un amour, dont la seule ambition est d'aimer, et d'être aimer .
Douter n'est bien sûr pas permis ! Il faut aimer sans conditions !.
Aimer pour la personne qu'on est et non ce que l'on peut représenter.

Malheureux est celui qui n'aime pas !
On ne peut pas nous voiler la face ! on se sent mal à être seul.
Ni amis, ni famille ne peuvent combler ce vide existentiel.

Croire qu'on est heureux ne suffit pas, il faut en être persuadé.
On peut l'espérer, le désirer très fort mais il faut en être sur.
Et c'est avec ce sentiment de certitude que nous serons heureux.
Une fois au moins, on l'a forcément été un jour.
Revivre ce sentiment est notre souhait à tous !

Qui n'as pas été amoureux ou n'as jamais aimé, n'as pas vécu.
Une chose est sûr, l'amour est la seule clé du bonheur.
Il importe peu qui on aime, il faut aimer et être aimé.

Mais personnellement , c'est à une jeune femme que je pense !
Et à une en particulier, dont le regard couleur ciel me noie de plaisir.

Pire que la mort, aimer sans retour, est la pire douleur.
Autant l'éviter, car c'est une souffrance continue.
Si si et vous pouvez me croire ! on l'a tous vécu ! j'en suis certain.
Soyons juste amoureux pour commencer , si on peux !
Il y'à des fois oû on se retrouve amoureux, sans le savoir !
On ne le sait que trop tard ! quand l'autre ne nous aime plus !
Nulle chose au monde ne peut nous consoler à ce moment là.
Non vraiment, il faut avoir la chance de s'en rendre compte.
Et de se dire : "Oui c'est elle" ( ou lui ! ), c'est "L".

mardi 21 avril 2009

"L", Passion retrouvée




















"L" ,

Histoire de ma passion retrouvée,
Ou j'attends que cet instant auquel j'aspire depuis toujours arrive.
Un moment que je ressens du fond de mes attentes.
Dépourvu de patience, je me consume de mes désirs désabusés.
A mesure que je la vois et que je la ressens.

Temps d'un mot ou d'une discussion .
Une passion m'anime,celle de ma fougue et de mon désir.

Merveilleuse sensation qui ranime ma vie en suspens.
Entre jadis et aujourdhui, je la retrouve avec délice.

Plus rien ne compte alors,
A mesure que ma verve s'empare de moi.
Sans retenue , je me confie à sa bonne volonté.
Sans doute est ce un désir impérieux qui m y pousse.
Il n y' a pas de doute car je me sens transporté.
On ne peut m'en empêcher, je glisse vers sa volupté.
Noyé par mes pensées passionnées,
Nourri par ses mots envoutants,
Enfin je les couche pour le plaisir de la retrouver.

mercredi 15 avril 2009

Un jour qui passe, une vie qui change.

Aujourd'hui ma vie change.

La vie a toujours été extraordinaire, dans la mesure ou il arrive toujours quelque chose à laquelle on ne s'attend pas.


Il y'a 1 an jour pour jour j'écrivais un texte pour souhaiter l'anniversaire de mon ex femme.

je la remercie d'être partie.

En fin de compte,il ne faut pas grand chose pour oublier une Femme.

Il suffit d'un sourire, d'un regard ou d'une voix qu'on entend au moment opportun.
Et aujourd'hui en ce jour précisément, je ne pense plus qu'à "L".
A ce chemin que j'arpente, à ce désire que je ressens au plus profond de mes aspirations.
Je pense à ce qui va suivre naturellement, à "M", moi, ma destinée qui ne se fera pas sans "L".

L'histoire quel qu'elle soit ne s'efface pas, car ce qui est arrivé ne peut pas se défaire.
Mais on l'assimile, on grandit, on change et on devient une autre personne.
Si je suis cet homme aujourd'hui , c'est pour "L".

Comme la vie, l'histoire s'écoule inexorablement.
Et plus rien n'as d'importance que ce qui arrive,
Ce futur qui s'éclaire à mesure que le temps passe.

C'est mon histoire qui s'écrit, et elle s'écrira avec "L".

dimanche 12 avril 2009

Quelques secondes ...


Quelques secondes suffisent à nous mettre de bonne humeur, joyeux ou parfois heureux.
Ou encore elles nous plongent dans un tourbillon de tristesse, d’angoisse ou de déceptions.
Il n’en faut guère plus.
Quelques soient les raisons majeures ou futiles qui vont changer notre état d’âme, quelques secondes suffisent toujours.
Pourtant à chaque fois que cela se produit, je les compte et les revit dans ma conscience.
Elles paraissent interminables.
Souvent j’ai souhaité les arrêter, et prendre mon temps quand elles me conduisaient vers un état agréable ; ou au contraire les oublier lorsqu’elles sont décevantes.

Il est incroyable de voir comment certaines secondes nous font vibrer, surtout quand on pense à quelqu’un en particulier à « L », par exemple.
Et comment ces petites secondes nous projettent dans des pensées sans pareilles, des secondes ou milles questions fusent à propos d « L » , jusqu’ ‘à ce qu’elles passent enfin.
A être soulagé de voir que tout est en ordre et qu’ « L » va bien…
On pense alors à « L »… et à la suite …à « M ».

dimanche 22 mars 2009

« L »& « M »

« L »& « M »
Dans l’ordre de l’alphabet, « M » suit « L ».
Mais plus qu’un ordre c’est un chemin auquel j’aspire.
A bientôt 37 ans, c’est une étape que je n’ai jamais réussi à franchir.
Ce texte s’adresse à « L », pour lui dire que je suis prêt.
Si j’en suis là aujourd’hui, je ne le dois en fin de compte qu’à une seule personne.
Le vécu de nos vies nous amène toujours à faire un choix.
Un choix qui détermine qui on sera et ce que l’on adviendra.
Et c’est là toute la difficulté de la chose.

Par peur, par crainte de l’autre, c’est une étape que nous refusons souvent de voir.
Depuis quelques mois, je me suis interrogé sur cet avenir invisible qui me guette.
Au gré des rencontres que la vie nous amène à faire, j’y ai toujours songé avec appréhension.

Par manque de confiance, je n’ai jamais retenter l’expérience du tout.
En fin de compte le choix ne se fait pas, il apparaît comme une évidence certaine.

Les qualités que l’on peut découvrir chez certaines personnes vont nous donner le courage nécessaire.
Le courage non pas d’aller de l’avant, mais de continuer à avancer vers un chemin déjà tracé.

C’est à ce moment ou mu par une voix intérieure, on ne pense qu’au moment ou les choses vont enfin pouvoir suivre leurs cours.
Un cours qui était en suspens.

Cela fera plus de 3 ans que ma vie aura été suspendu.
Aujourd’hui, ma vie va reprendre son cours.
Grâce à mes amies, à mes vaines expériences et à « L », je sais que « M » suivra naturellement.

Alors toi qui lira ces mots, et qui auront tout leurs sens pour toi, tu sais que c’est vers « M » , que ma vie d’aujourd’hui me mène.
Ma rencontre avec « M » se fera le cœur léger, car je sais que ma vie recommencera ce jour là.

« M » suivra « L » aussi surement que le soleil se lève.
« M » est ma destiné.
« L » aura été mon inspiration, ma liberté retrouvé.
« L » pour liberté, une lettre qui avance, une vie qui passe.
Et,
« M » est moi, « Mehdi », une lettre qui vient, une vie qui recommence.

dimanche 15 mars 2009

Un café pur plaisir.

Ce regard qui m'as troublé, ne m'as pas quitté.
J'y ai longuement repensé jusqu'à aujourd'hui.
Je l'ai appelé pour la voir.

Je découvre en elle,une femme d'une grande sensibilité.
Elle n' as plus le regard de cette jeune femme qui habite mes souvenirs d'école.

Sans me retenir , je lui dévoile les turpitudes de Hind.O

Il fallait que je fasse ce premier pas ,bien qu' encore douloureux.
En lui racontant mes déboires , je ne peux m'empêcher de revivre ces 2 années dévastateurs de ma vie passée.

Sans retenue , elle fait de même.
Je sens sa souffrance cachée et pourtant si criante.
Son histoire plus dure que la mienne et pourtant si similaire m'as apaisée.
Nous avons espéré une vie, qui n'as pas eu lieu.
Nous avons eu des rêves qui se sont évaporées.

Rien n'arrive par hasard dans nos vie, et cette rencontre fut un plaisir délectable.

jeudi 12 mars 2009

Retrouvailles Chaleureuses.
















Ce soir, j'ai retrouvé des visages connus.
Des visages qui ont traversé mes souvenirs.
Certains familiers et d'autres moins.
Mais le plaisir de les revoir est sans mesure.
Ma joie de me retrouver parmi eux , me plonge loin dans mon enfance.

Les souvenirs se bousculent.
Des souvenirs d'écoles.
mon émotion est intense.
Nous étions 5, mais c'est comme si tout le monde était là.

Mon attention se porte sur un regard.
Un regard intense et criant.
Je n'ose lui demander pourquoi est ce que je ressens cela.
Peut être n'est ce pas le moment, mais je la verrais, plus tard.
Peut être demain, le jour qui suit ou quand elle le voudra bien.

Çà discute, on se remémore nos souvenirs communs.
Bien des années se sont écoulées, 16 ans.

Ce jeudi soir, je me rend compte de ce qu'on avait.
la paix de l'âme.
Aujourd'hui, nous sommes adultes.
Des rêves se sont concrétisés, certains perdus et d'autres oubliés.

Chacun de nous à sa vie, ses problèmes et son lot de bonheur ou de tristesse.
Moi, je ne suis pas heureux.
Plus maintenant.
Ce regard devant moi, non plus, j'en ai la conviction.

Certains parmi nous sont épanouis et cela est très plaisant de voir ce qu'ils ont accomplis de leur vie.
Certains parmi nous sont devenus des femmes et des hommes accomplis.
Et d'autres se cherchent encore, comme moi.
Et peut être elle.

Ce moment fait partie de ces surprises agréables que nous réserve la vie.
Au moment de les quitter, j'ai le coeur qui se serre.
J'ai peur que la vie nous éloigne de nouveau.
Mais cette fois , nous sommes parés.
Nous échangeons nos numéros et je les appellerais.

Elle au moins , dont le regard m'as troublé.

Ces retrouvailles chaleureuses sont empruntes de sympathie, de plaisir réciproque et d'une amitié rare aujourd'hui.
Ce moment rare est le fait d'une d'entre nous, et je l'en remercie vivement.

vendredi 30 janvier 2009

Mon amie Lebbar Selwa.



















Mercredi 28 janvier 2009 je reçois l'appel de Nadia khalid une amie intime de Lebbar Selwa.
Elle m'appelle pour m'annoncer le décès de Selwa...

Je n'y crois pas.

Je n'arrive plus à penser et je ne sais quoi penser.

Je suis figé et abasourdi.

Nadia me dira que ceux qui désiraient aller présenter leurs condoléances allaient se retrouver le lendemain, jeudi 29 janvier 2009 devant le littoral à 19H.
A 18H20, ce jeudi , je suis devant le lieu de rendez-vous.
Je ne peux m'empêcher de repenser à mes 2 années d'E.F.A, en attendant les autres.
12 ans se sont passées, mais c'est comme si c'était la veille, la dernière fois ou j'aurais vu mon amie Selwa.

Je repense alors aux excuses que je faisais pour qu'elle vienne m'aider en math.
Aux examens , je répond faux juste pour avoir le plaisir de la voir m'aider chez moi.
Elle m'explique, et moi, je la contemple !
Mon dieu, combien de souvenirs vont jaillir de ma mémoire.
A 19H, personne n'est encore là.
Et moi je suis toujours plongé dans mes souvenirs.
Je repense à ces nombreuses fois ou j'allais chez elle pour je ne sais quelle raison et que je restais à l'attendre avec sa famille.
Et je me souviens du premier mot que diras son petit frère youssef ,encore bébé :"Mehdi" !
Je me remémore la soirée Shératon organisée par nore école ou elle avait faillie ne pas partir à cause d'une foulure de cheville.
O combien de souvenirs vont m'assaillir à me faire couler ces larmes, que je ne vais plus arriver à stopper.
Je repense à cette après midi organisée par le bureau des étudiants ou je jouerais au jeu du oui/non.
Je jouerais très bien, sans faute,mais quand l'animateur me demande si j'étais amoureux de Selwa, je répond oui...

Tellement de souvenirs, tellement de bons moments...

Il m'est vraiment très pénible de croire à son décès.

A 20H, je ne comprend pas, personne n'est là.
Pas même Nadia Khalid qui m'as annoncée cette terrible nouvelle.

C'est le coeur amère que je retourne chez moi.
J'aurais tellement aimé aller présenter mes condoléances à sa famille que j'aimais beaucoup.
Je n'arrive pas à réaliser ni à comprendre ce qui vient de se passer.
Je me souviens parfaitement de Nadia Khalid me dire au téléphone qu'on se réunirait le lendemain à 19h devant le Littoral.
Le plus terrible c'est que je ne sais pas comment les joindre.

J'avais 24 ans et elle à peine 21.
Nous étions deux jeunes ado pleins de vie et rêvant de tellement de choses.
Et dans mes rêves, il y'avait Salwa.
La vie ne m'as pas permis d'être davantage qu'un ami, à mon grand regret.

On grandis, on oublie certaines choses.
Mais peu importe le temps qui s'écoulera, à chaque fois que je penserais à elle, j'aurais dans mes pensées son regard et son sourire que jamais je n'oublierais.

Puisse Dieu l'accueillir dans son vaste paradis.
A Dieu nous appartenons et à Dieu nous retournons.

mardi 27 janvier 2009

Merci SOF.















SOF.
Voir que tu n’as pas oubliée cette composition de pétales de roses et de bougies que j’avais fait pour toi il y à plus d’un an, m’as inondé d’une joie intense.

Cela m’a touché et ému.
C'était un peu ma façon de te remercier pour m'avoir aidé à retrouver le sommeil.
Et pas seulement car j'avais trouvé en toi une sensibilité, une sympathie et une amitié à laquelle je ne m'attendais pas. Ce n’était ni un bijou, ni rien de précieux, mais juste quelques roses et des bougies.
Lorsqu'on traverse certaines épreuves de la vie, on ne pense pas vraiment qu’au coeur de cette souffrance, on puisse trouver tant de compassion, de compréhension et de gaieté.Une émotion intense et fusionnelle. Le plus curieux dans cette situation, c'est que j'éprouvais pour toi tant de choses, bien plus que pour celle qui avait été ma femme.
Et pourtant on ne se connaissait qu'à travers nos tourmentes .
Si les journées qui passaient étaient moroses et pénibles, je n'attendais que le soir pour entendre cette voix si apaisante. C'était mon moment de répit en pleine tempête.
Un peu comme ce petit moment de paix absolue que nous ressentons après avoir fait l'amour.

Que tu puisses te rappeler de si peu de choses n’as fait que renforcer davantage mes ressentiments à ton égard.
Je connaissais déjà la compassion, la sympathie et l’amitié que tu m’avais généreusement offert..
L’émotion que tu m’as fait ressentir m’a transporté très loin à travers mes espérances.
C’est irréel et incroyable !
Jamais personne n’as suscité en moi pareilles émotions, si vives et si intenses.

Il y’a un an ma chère Sof , tu as permis que je retrouve mon sommeil .
Et Dieu sait que j’en avais grandement besoin, alors que je n’étais plus que l’ombre de moi-même.
En te rappelant de cette image tu vas me faire retrouver cette joie enfouie au fond de moi.
Cette impression de te connaitre depuis si longtemps qui est si forte, si présente et si familière.
Cette sensation si douce qui me caresse et qui attise encore une fois mon attente.

Cette douce attention que tu as eue à mon égard te rend spéciale.

Comme toujours je couche mes espérances à travers ces mots que ma verve me commande de livrer.
Peut être est-ce un tort que d’espérer ce qui nous semble meilleur et qui nous attire, mais c’est la vie qui se chargera ou non de le rendre possible.
Encore une fois je m’extasie devant cette incroyable surprise que la vie me fait, et toujours au moment ou je m’y attends le moins.
Et c’est toi Sof qui va me montrer par le souvenir que tu gardes de cette image, à quel point est ce que je suis chanceux de t’avoir connu.
Si avoir tant souffert m‘as permis de te connaitre Sof, ce n’est que pour apprécier davantage la générosité de cœur que tu montres à mon égard et qui te rend si belle.

Je ne connais pas quel chemin vas t on être amené à prendre, mais quel qu’il soit, j’ai la conviction que tu seras là.
J’ai pu survivre à mes tourments grâce à toi.
Peut importe ce qui se passeras, cette fois, on signera notre droit au bonheur au bon endroit.

samedi 17 janvier 2009

Cogitations.






















Etant seul depuis plus d'un an et demi, je repense à ses quelques femmes qui ont traversés ma vie amoureuse.Quelques unes m'ont marqués même si l'amour n'était pas au rendez-vous.
Bien souvent j'ai cédé, fait des concessions sans rien attendre en retour.
Pourtant et raisonnablement, les efforts consenties dans une relation ne devraient jamais être vains.
Trop souvent je me suis accroché à l'espoir que cela marche mieux...
Alors que les relations amoureuses étant ce qu'elles sont, il n'y as pas de demi mesure.
Ou il y' à des le début une certaine complicité qui se découvre, ou sinon il ne faut rien espérer !
Et pourtant, je restais à attendre un mieux qui n'arrivait jamais.

On dit souvent que l'âge n'est pas important en amour, et je ne sais pas si c'est vrai ou pas !

J'ai pu voir à travers les quelques rencontres que j'ai fait, que la compréhension n'est pas l'apanache des plus matures.
Certaines jeunes femmes qui ont à peine une vingtaine d'années voient la vie d'une manière complètement différente de leurs ainées , et certaines qu'on s'attend à être mature car elles ont plus que la trentaine revendiquent un je-m'en-foutisme ostentatoire.
Je parle ici des femmes que j'ai rencontrées après mon divorce.

A bientôt la quarantaine, beaucoup de femmes espèrent faire un mariage heureux.
Leur raison première est d'avoir un bébé, la première année.
Je les comprend partiellement,car leurs horloges biologiques sont à leurs pics d'activités.
Mais voila, les bébés ne font pas le couple et encore moins le bonheur conjugale.
Et le croire serait une erreur, en tous cas, j'en suis intimement persuadé.

Entre 28 et 33 ans, elles n'ont pas voulues avoir de relation amoureuses,mais juste amicale.
Elles préfèrent attendre un meilleur parti que moi.
Mais alors pourquoi s'engager dans une relation purement amicale ? Cela s'apparente à un manque de foi.

C'est entre 20 et 27 ans, que mes rencontres ont étés les plus intéressantes.
Certaines ne pensaient qu'à une relation de copain ou de couple sans aucun engagement qui les mènerais vers le mariage.
Et quelques unes ont déjà un grand vécu, vu leurs jeunes ages et pensent au mariage, ce qui m'encourageait vers une meilleure connaissance de la personne.

Quand enfin, je découvrais une certaine complicité, et que j'aspirais à une meilleure connaissance de la personne, nos points de vues divergeaient concernant nos attentes respectives.

Aurais je manqué de chance à chaque fois ?!.

Les femmes, les hommes comme ils sont compliqués !
alors qu'en fin de compte, la vie est si simple et si belle.

mardi 13 janvier 2009

Premier Baiser

Il y a bien longtemps, loin dans ma mémoire d’adolescent, je retrouve un moment précieux.

Celui d’un baiser, innocent et passionnant.
Je n’y avais jamais plus repensé depuis un bon moment.
Je ne sais pas trop pourquoi est ce que j’y repense avec tellement de plaisir.

Je m’en souviens comme si c’était hier.

Ce n’était pas un moment d’égarement, mais celui d'un profond désir enflammé.
Un désir brulant et intense qui m’avait lentement consumé durant deux longues années.
Elle était la première que mes lèvres ont embrassée, mon tout premier baiser.
J’en garde encore le goût suave dans ma bouche.
Je ferme les yeux, j’y pense et je replonge dans ce tourbillon d’émotions qui m’avait alors envahie !
Ce jour là je découvrais le baiser de mon premier grand amour d’adolescent.
Mon cœur s’emballe en y repensant.

Je ne sais pas pourquoi j’y repense aujourd’hui…
Peut être est-ce le signe que je suis prêt à aimer de nouveau.
Peut être est ce simplement de la nostalgie.
Ou encore l’occasion de me rendre compte de ce qui aurait pu être.
Mais non !
Nous n’avons aucun contrôle sur notre vie, juste nos espérances et nos attentes.
Alors peut être que je suis prêt, guérie de la turpitude de Hind.O.
Je le sens dans mon moi intérieur, tout au fond de mes attentes et mes appréhensions.

Ce moment bien que fugace, j’ai le sentiment qu’il a duré longuement.
Peut être une partie de l’après midi, ou juste cinq minutes, mais un long moment.
Repenser à ce baiser me rend heureux et me donne le courage d’attendre.
Oui, car si entre temps rares sont les personnes qui ont véritablement compté pour moi,
je sais que j’aurais à jamais chez Elle, la place qu’occupe ce souvenir.
Et comme je viens d’y repenser, elle y repensera en ayant un grand sourire.

Nos chemins bien qu’ayant empruntés des voies différentes et que la vie nous a emmené dans son sillage sinueux, elle restera mon premier grand amour et une amie sincère j’en suis certain.